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Articles de michael-penn

Bonne année 2018

Par Le 05/04/2018

 

Faites comme moi… Oubliez 2017 dans les rigueurs de l'hiver québécois et foncez sans vous retourner vers 2018. L'Espagne me tend  les bras pour un nouveau départ… je fonce vers de nouvelles aventures… de nouvelles connaissances… mais avec quelques appréhensions pour ce qui est de ma nouvelle langue !!! Malgré quelques origines espagnoles et un an d'apprentissage au lycée il y a… plus de 60 ans!!! À 76 ans ça reste tout un défi (un de plus diront ceux qui me connaissent de longue date). Ce sera aussi un nouveau départ pour Napo, mais ça c'est une autre histoire… Conclusion : c'est déjà le printemps et bien tard pour vous souhaiter, à toutes et tous, les meilleures choses pour 2018 mais, il vaut mieux tard que jamais. Retard que vous me pardonnerez compte tenu de tous ces bouleversements dans mon traintrain québécois. Petite parenthèse pour mes lecteurs: Napo a bien effectué une nouvelle enquête qui est dans la mémoire de mon ordi depuis 2016… car depuis cette date les cartons de déménagement sont prêts mais la vente de la maison se faisait attendre ce qui (en principe) devrait avoir lieu dans les mois qui viennent. «Tout vient à point à qui sait attendre»… il ne faut juste pas désespérer. Tchao!!! Adios!!!

BONNE ANNÉE 2017

Par Le 13/01/2017

C'est avec du retard, comme tout ce que je fais depuis que je suis à la retraite, que je vous souhaite... et puis, non ! C'était la m..de en2016 (raison pour laquelle je ne vous avais pas souhaité les voeux) et ça va continuer en 2017 !!! La seule chose dont je suis certain, c'est que, même ruiné (ce que je ne vous souhaite pas), il vous restera 20 euros pour m'acheter un roman.

Santé, Gratitudes, Amitiés et que tous vos voeux se réalisent.

Michael Penn

 

Bonne année 2015

Par Le 04/01/2015

Quoi ! Est-ce que l'argent fait le bonheur Déçu? Vous en avez des questions, vous. J'en sais rien moi, j'suis fauché et puis j'ai horreur de philosopher entre deux bouchées de foie grasPied de nez. Oui... bon... fauché et foie gras ça va pas ensemble, je sais, mais quand on est né proche du Périgord on se refait pas. Moi, je suis pour les traditions et si je prends le temps de vous écrire dans un moment aussi solennel c'est uniquement pour vous souhaiter les meilleures choses pour 2015. C'est toutCriant. L'argent ? Pfeu... qu'est-ce que vous pouvez être terre-à-terre !Clin d'œil

Amitiés ou bises depuis la Floride selon que vous soyez amis ou parents sans oublier un peu de soleil pour tous ceux qui sont dans le froidCoolCoolCool.

Mes voeux pour 2014

Par Le 01/01/2014

    

     Coucou à toutes et tous de... Floride !!!

     Eh oui, après + de 20 ans à fêter la nouvelle année dans la neige et la froidure québécoise, c'est dans notre petite maison de Fort Pierce que nous avons décidé d'attendre 2014. C'est donc dans le froid (seulement 23 Celsius aujourd'hui... brrrrr ! ) que je vous ecris ces quelques lignes : 2013 n'ayant pas été une année modèle de paix, de prospérité, d'amour, de probité, et j'en passe…, j'ai le plaisir de vous annoncer son décès survenu le 31 décembre à 23 heures 59 minutes 59 secondes… Sablons toutes et tous le champagne pour sa mise en bière, ni fleurs ni couronnes. Une quête d'amitiés, de bises et de tendres (ou fougueux) baisers sera organisée lors des 12 coups de minuit pour annoncer la naissance de 2014 que nous espérons pleine de promesses en espérant qu'elles nous apporteront plus de joies et de bonheur que tous les "mensonges" de nos politiciens (toutes tendances confondues) !

Michael Penn

P.S. Si l'auteur ne passe pas trop de temps à la pêche, Napo devrait terminer sa 7ème enquête avant l'été.   

Bonne année 2013

Par Le 16/01/2013

    

     L'année dernière j'ai souhaité une très bonne année à un pote : il a cassé sa voiture, s'est retrouvé avec un bras dans le platre, il a dû fermer son entreprise pour raisons économiques, sa femme a demandé le divorce, il a dû vendre sa maison. Donc, cette année, je vais me contenter de vous souhaiter à tous et toutes une année bien ordinaire, sans problème et pleine d'amour.   

 

 

BONNE ANNÉE 2012

Par Le 06/01/2012

Je regrette que nous n'ayons pu nous rencontrer pour déguster ce délicieux menu ensemble.

 

 Votre hôte : MICHAEL PENN

 

Lieu d'invitation : Nominingue / Canada (Québec)

Adresse mail : mich.penn@yahoo.fr

Adresse site : http://www.michael-penn.com

 

 MENU POUR 2012

 Entrées :

 Cocktail d'amitiés.

Et

Suprême de sympathie.

 Plat principal :

 Filet de bonne santé

Et

Salade de prospérité

 Dessert :

 Plateau de bonnes nouvelles.

Et

Saladier de réussites extrêmes.

Et

Déluge de bonheur.

 

Aux fourneaux : Napoléon Cavana (Napo pour les intimes).

                        À la caisse : Marie-Claude Peña-besson

 

 

 

 

BONNE ANNÉE 2011 !

Par Le 12/01/2011

Où que vous soyez : dans la tourmente européenne, sous le soleil du Québec, en Nouvelle-Calédonie ou à Tarascon... con ! Je vous souhaite une année complètement folle et pleine d'imprévus agréables, bien entendu. le tout c'est que vous gardiez la santé, les idées claires et assez d'énergie pour dévorer les enquêtes de Napo, qui espère vous retrouver toutes et tous dans le même état pour fêter le Nouvel An 2012 !!!  

Aujourd'hui, c'est moi qui pose une question !!!

Par Le 20/09/2010

     Il n'y a pas très longtemps je vous annonçais avoir franchi le cap des 100 000 eh bien tout ça c'est du passé

puisqu'à ce jour c'est plus de 120 000 visiteurs qui sont venus sur le site ! Un seul regret, vous n'êtes pas très

bavards : pas de questions, pas de commentaires et il y a longtemps que vous n'avez pas mis un mot dans le

livre d'or. Bof ! je mettrai ça sur le compte des vacances !  

     Aujourd'hui c'est donc moi qui vais vous poser une question : comment trouvez-vous l'année 2010 ? Je ne

parle pas sur le plan politique, économique, climatique, etc. parce que là, je connais les réponses : c'est une

année de m.... !

     Non je voudrais savoir ce que vous pensez de cette année sur le plan personnel ? Parce que pour moi : c'est

une année de m... Mon papa... Oh ! et puis passons sur mes problèmes personnels dont vous n'avez rien à

faire... et soyons positifs. Je viens de fêter ma 68e année. J'ai fait une visite générale et tous les trous sont en, 

pas trop mauvais états, enfin... pas de quoi se dégonfler, pour l'instant, a dit le médecin ! 

     J'ai le plaisir de vous annoncer que mon 6e bébé va voir le jour d'ici quelques semaines et l'accouchement

s'est fait sans douleur. Les fidèles de Napo (France) seront directement informés dès la sortie, mais mon

éditrice cessant ses activités pour raison de santé en attendant un nouvel éditeur vous pourrez vous procurer 

"Rendez-vous avec la mort " comme par le passé : chez TheBookÉdition.com 

Pour le Canada (Québec) ce sont toujours les "éditions du Lac Noir" qui me diffusent (voir adresse en page

d'accueil)

    N'oubliez pas aussi que mon premier titre "Vacances en eaux troubles" et disponible en Ebook chez

Woodebookpaper.com

À la prochaine !

 

"QUÉBÉCOISERIES"

Par Le 16/09/2010

 

 

Les délices des expressions québécoises... j'adore !

 

Avoir siz pouces de jambe (puis le trou du cul tout de suite) = être de petite taille.

Manger trois pains sur la tête de qqn. = être beaucoup plus grand que qqn. ("Me vois-tu danser avec le grand Alain Turcotte ; aïe ! il

me mange trois pains sur la tête." Écoute... Radio-Québec 1980)

Être un mangeux d'balustre = être bigot. ("J'sus pas un mangeux d'balustre,/J'sus pas non plus d'la croix d'S.-Louis, / Mais j'crois qu'y'a

un bon Yeu qu'est juste..." É. Coderre. "Y'en a qui restent avec vous, monsieur le curé, mais c'est des brasseurs de chapelets, des

mangeux d'balustre... Le reste des gens du village, c'est pas drôle comme y sont montés !" Y. Thériault)

Ôtez vos pieds de d'dans le blé dinde ! = attention ! je vous prie de me croire ! ("J'vous garantis que

depuis c'temps-là les criatures me soignent aux p'tits oignons, parce que c'est moé le berger du

troupeau, comme dit mossieu le curé. J'aime mieux ça que d'être soldat, mais c'est une job, ôtez vos

pieds de d'dans le blé d'Inde !" Armand Leclaire)

Être enragé comme un blé d'Inde = être furieux. 

Avoir une blind date = passer une soirée avec un partenaire inconnu. ("Emmenez-moi mon chameau

parce que j'ai une blind date avec un cheik arabe." La course autour du monde déc.1991)

Faire marcher la castonguette = utiliser la carte d'assurance-maladie du Québec. (D'après le nom du

ministre des affaires sociales de l'époque : Claude Castonguay) 

Avoir le visage comme un coin de rue = bouder, faire mauvaise mine.

Croquer marmotte = attendre, languir, ronger son frein. ("Rendue vieille, elle croquait marmotte, toute la

journée, devant sa fenêtre.") 

Être une Marie-quat'poches = Se dit d'une femme mal habillée ou qui ne tient pas bien sa maison. ("Je

m'en rappelle, dans les hauts du comté, y avait une grosse criature qui s'faisait des culottes de même

avec des poches de farine, pis le monde disait qu'elle était assez grosse que ça y prenait quatre poches

pour se faire une culotte." R. Lévesque) 

Être un suceux de cul = être homo. ("Ti-noir est très catégorique : pour lui les curés sont des "suceux

d'cul"." M. Letellier)

Dormir sur la switch = ne pas voir l'évidence, igorer, être inconscient de la réalité. ("Le gouvernement

dormait sur la switch dans l'affaire de la vente des effets de Maurice Richard." Jean Lapierre 2002) 

Retrousser le troufignon à qqn. = donner une raclée.

Avoir des yeux en trou d'suce = avoir les yeux fatigués, bridés, petits et ronds. ("Les yeux fermés comme

des trous d'suce, je me demande bien comment tu peux arriver à lire, moi !" V.-L. Beaulieu) 

Avoir le trou d'cul joyeux = lâcher des gaz en public. 

Avoir le trou d'cul en dessous du bras = être exténué, fourbu, épuisé. 

Avoir un trou qui court dans la couverture = être timbré. 

Recrinquer le paroissien à qqn. = revigorer, rasséréner qqn. ("Nous autres, on est pas payés pour vous

faire des guilisguillis ah ! ah ! rien que pour vous recrinquer le paroissien. On est pas un CLSC,

gonnebitche !" V.-L. Beaulieu.) 

Porter les paquets = moucharder, rapporter. Se dit particulièrement d'enfants, et entre enfants. 

Lever les pattes = mourir, partir. ("Y sont morts tous les deux, la grand-mère ça fait deux ans, le vieux,

un tit peu plusse. Quand ils ont levé les pattes, c'est le père à Clothilde qu'a hérité de la maison." J. M.

Poupart.) 

Va te licher la patte ! = déguerpis !

Rester la patte en l'air = rester décontenancé, ne pas pouvoir terminer qqc. ("On est resté la patte en

l'air avec notre gag !" Marcel Béliveau).

Faire son fier pet (pète) = faire l'orgueilleux, le fanfaron, le prétentieux.

Tes bébelles (pis) dans ta cour ! = mêle-toi de tes affaires ! ("Aïe toi, la mère avec ton enfant

malcommode, tes bébelles, dans ta cour." Pièce populaire de Marcel Ganache.)

Se faire brasser la canisse = se faire secouer, admonester. ("J'vas lui brasser la canisse, à Langlois,

moi ! Je te le promets." Texte de Lise Payette)

Se dégourdir le canayen = se revigorer, notamment avec de l'alcool, se secouer. ("...on n'a pas souvent

de petites parties de plaisir comme ça dans les chantiers ! C'est ça qui vous dégourdissait le canayen

un peu croche !". L. Fréchette)   

Péter la fraise à qqn. = donner une raclée à qqn.

Faire sa fraîche-pette = faire son arrogante. Se dit surtout d'une femme. ("Quand je l'ai revue, elle était

aussi fraîche-pette qu'avant". Parler pour parler, Radio-Québec 1990) 

Jeter sa veline = faire des folies de jeunesse. Veline (étym.) : peau de veau mort-né. Jeter sa veline,

c'est donc littéralement jeter son veau, c'est-à-dire faire sa vie de jeunesse. ("...et plusieurs fois avoir

tué et affolé plusieurs de bestes velines et porcines dudit Guillaume..." extrait godefroy, Dict. de

l'ancienne langue française) 

Reprendre son vent = reprendre son souffle. ("...T'as repris ton vent, Desrosiers ?... Montre nous ça,

pour voir si tes jarrets sont aussi bons que ceux du bonhomme..." A.Nantel). 

Avoir marché le vent dans le dos = avoir les oreilles décollées.

Ça ne (me) fait pas un pli (ni une bosse) sur la différence (sur la fesse gauche, sur la poche) ! = ça

m'est égal ! ça m'est indifférent. ("... tu m'as fait venir ici pour me raconter tes peines de coeur ? - Non,

non... je sais bien que ça ne te fait pas un pli sur la poche.") Y. Beauchemin. 

Avoir qqch. à pleines culottes = avoir qqch. en grande quantité. 

Se faire couper la motte = se faire couper les cheveux. 

Se moucher en charniolle = se moucher avec les doigts. 

Être magané de la charette = être fourbu, harassé, courbaturé, épuisé, éreinté, exténué.

Mange donc un char de crisses ! (injure)= déguerpis !  

Botcher une job = accomplir un travail à la va-vite. 

Passer le minot à la baguette = ne pas en faire plus qu'il ne faut. 

Être un baise-la-piastre = être radin, avare. 

Avoir de la baddeloque = être malchanceux. On dit aussi : être baddeloqué. "m'a dire comme on dit,

j'étais décidé, à bougré mon camp, rapport que j'avais trop de bad-luck et que les amours avec Madame

Brunette s'en allaient sur la bum" (Albéric Bourgeois).

Être (jouer) dans les battures de qqn. = chercher à séduire le (la) conjoint (e) d'une autre personne. 

Faire qqch. tout d'une bauche. faire qqch. en vitesse, rapidement, en une étape, d'un seul coup. 

Va pisser une bolt = déguerpis ! 

Être un casseux de veillée = être le rabat-joie de la soirée. 

Avoir l'air d'une vesse de carême = avoir le teint blafard. 

Baiser la vieille = échouer, manquer son coup, revenir bredouille. 

En lâcher une puissante = raconter une chose invraisemblable.

Avoir la patience qui sonne le fond de canisse = être à bout, exaspéré.

Faire du crossage = se livrer à des manigances, à des tromperies. 

Piéter comme un croquecignole (croquignole) = se vanter, parader. 

Faire crinquer qqn. = mettre qqn. en colère. 

Se faire une croix dans le front = déclarer forfait, désespérer d'atteindre un but. 

Être crinqué au boutte (bout) = être dans une grande colère. 

C'est une (vraie) riguine = c'est mauvais, peu fiable (se dit d'un véhicule, d'un appareil quelconque). 

Être viré sur le top = perdre l'esprit, perdre tout bon sens. 

Toffer la ronne = endurer, supporter, tenir le coup. 

Partir sur une ronne = divaguer, faire la fête. 

Mâcher (manger, ronger) son ronge = ravaler sa colère, maugréer, brûler d'impatience. 

Se coucher en rôle de chien = se coucher tout habillé. 

Tomber sur les rognons = tomber sur les nerfs, agacer. 

C'est une (vraie) riguine = mauvais, peu fiable. Se dit d'un véhicule, d'un appareil quelconque.

Être (un, faire le, son) pepsi = faire le fanfaron, malappris, écervelé.

Avoir des verres en fond de bouteille = porter des verres très épais, être aveugle, ne pas voir l'évidence. 

Avoir du foin à vendre = avoir la braguette ouverte. 

Préparer ses flûtes (pour partir) = se préparer, faire ses bagages.

Attendre une pipe = attendre longtemps (autrefois la pipe servait souvent d'unité de mesure du temps).

Faire le flouc = avoir des relations sexuelles. 

Assis-toi sur ton steak = tiens-toi assis et tais-toi !

Être en dérouine = être ivre.

Être comme un pou sur une grange = être présomptueux, vouloir trop en faire. 

Rousselé comme un moule à plomb = avoir de nombreuses taches de rousseur. 

Être une mouche à marde = être collant, raseur, importun. 

Être bouché des deux bouts = ne pas vouloir entendre raison, rester sourd à tout argument. 

Arrête de tataouiner ! = arrête de tergiverser, de tâtonner, d'hésiter.

Se tchouper : partir, s'en aller, dans la langue des jeunes. 

Passer un télégraphe = voter illégalement en empruntant l'identité d'un autre.

Avoir les souliers ronds = tituber (en état d'ivresse) 

Être en sorcier = être en colère. 

Mettre la pédale dans le prélart (linoléum) = accélérer à fond, aller à fond de train. 

C'est le gravy sur les patates = c'est le comble !

Ne pas être équipé pour veiller tard = ne pas avoir tout ce qu'il faut pour réussir, séduire, etc.

Faire des taponneuses = rouler ses cigarettes à la main. 

Aller voir sa tante = aller aux toilettes. 

Être tannant aux portes = être agité, turbulent. 

Faire prendre une marche à ses tires (angl. pneus) = rouler trop lentement.

Je m'appelle mange-d'la-pelle (manche de pelle) = réplique à celui qui, sans raison, demande son nom à qqn.

Se mouver les galoches = se remuer, se démener. 

Faire de la cire = s'évanouir. 

Bouillir sous la pelouse = perdre l'esprit, avoir l'esprit dérangé.

Faire le boulechitteur = faire le fanfaron, faire de l'esbroufe.

Faire de la boulechitte = bâcler un travail, dire des foutaises.

C'est là que les loups jappent après la lune pour avoir de la galette = c'est loin, un coin perdu, reculé.

Être un sent-la-marde = être détestable, paresseux, sans coeur. 

Avoir des screws de lousses = Avoir l'esprit dérangé.

Passer un screw = dans la langue du milieu : assassiner un gardien de prison.

Ne pas être fait en mousse de combine = ne pas être fragile, pouvoir en prendre, en supporter. 

Avoir des gosses (testicules) = avoir du courage, du dynamisme.

Ne pas prendre goût de tinette = ne pas tarder, ne pas traîner.

Arriver/Partir sur une gosse = arriver/partir en trombe, à toute vitesse. (au Québec : gosses = testicules)

Senteuse comme une jument = fouineuse, comère (s'emploie pour une femme).

Avoir les yeux en gadelle = plisser les yeux d'un air coquin, faire les yeux doux, avoir un regard langoureux.

Faire sauter le gabarot à qqn. = donner une raclée à qqn.

Avoir l'air gadaye = avoir l'air ridicule. Se dit aussi d'une femme mal habillée.

Chenailler son affaire = se dit d'une personne débrouillarde, qui n'a pas "les deux pieds dans la même bottine".

Chenailler par là = déguerpir, filer à toute vitesse.

Être une chenille à poil = être laid, moche, repoussant.

Aller à la chenaille = aller à l'aventure.

Faire de l'air sur le poil des yeux = déguerpir.

Faire passer les amygdales par les narines à qqn. = tabasser, battre qqn.

Avoir les orteils en anse de cruche = avoir les orteils recourbés vers l'intérieur, tituber.

Être un Jack-in-the-box = être un boute-en-train, un farceur.

Piquer une jase = bavarder.

Se garocher les jambes = courir rapidement.

Être venu au monde le jour de sa fête = n'avoir aucune expérience, aucun jugement.

Faire du parlotage = parler pour ne rien dire.

Marcher avec des prières = fonctionner de manière incompréhensible, par miracle.

Avoir des poux, mais ne pas se gratter = supporter son sort avec résignation.

Être rentier à la petite chaudière = vivre au-dessus de ses moyens.

Se chauffer la guerloute = se chauffer le postérieur près du poêle.

Neiger comme des guenilles = se dit d'une neige qui tombe lentement 

Mouver ses guenilles = se remuer.

Être de la haute gomme = être une personne importante. 

Être en Hérode = être en colère, en furie.

Avoir le honteux trempe = avoir le front en sueur.

Tu vas être dans les honneurs ou tu vas aller aux noces = ton jupon dépasse.

Être dans les honneurs = être institué parrain ou marraine, laisser dépasser son jupon... 

Être en hostie = être en colère, en furie.

Tirer l'horoscope à qqn. = lui dire ses quatre vérités.

 Tomber de son jack = s'effondrer moralement, perdre conscience, perdre contenance, subir une crise d'épilepsie.

Se passer un jack = se masturber.

Rester assis sur son jambon = rester à ne rien faire, ne pas réagir.

Faire pleurer Jeannette = manière plaisante de dire uriner, pour un homme 

Avoir l'air d'un beau joual = avoir l'air d'un bel imbécile, d'un beau niais.

Baisse ta jupe, les jambes te gèlent = façon caricaturale de dire : habille-toi plus chaudement !

Faire du labour d'automne = tomber enceinte avant le mariage.

Mange pas tes lacets de bottines ! = garde ton calme ! t'énerve pas !

Faire son lavage à la main = se masturber.

Entrer dans la ligue du vieux poêle = prendre sa retraite (catégorie des vieillards).

Être un (beau) limoneux = être plaignard, pleurnichard, peu fiable.

S'ouvrir le mâche-patates = parler, parler sans arrêt. Contraire : ferme ton mâche-patates (ferme la) ! 

Corsée (corsetée) comme une maîtresse d'école = avoir la taille fine. 

Être comme un mal de ventre = se dit d'une personne insupportable.

Avoir un mal de cornes = avoir un mal de tête (surtout après une cuite).

Au temps qu'on se mouchait sur la manche = il y a très longtemps.

Ne pas être un manche d'alêne = ne pas tergiverser, aller droit au but.

Avoir jompé (Angl. to jump, sauter) le manche à balais = pour une femme qui a eu des relations hors du mariage.

Tomber comme des marbles (Angl. billes) = pleuvoir à verse.

Avoir les culottes à marée haute = porter une culotte trop courte.

Avoir (s'envoyer) les masses en l'air = gesticuler de colère, de joie, etc.

Être matché avec qqn = se mettre en ménage avec qqn, habiter avec qqn.

Ta matière grise fait de la chaise longue ! = tu as l'esprit engourdi, tu es peu éveillé !

Faire minouche = avoir des relations intimes avec une femme, caresser, flatter.

Mettre la mise au boutte (bout) du fouette (fouet) = exagérer.

Ramasser des trente sous avec des mitaines = ne rien gagner à faire qqch.

Être (se mettre) en mosusse = être (se mettre) en colère.

Faire de l'enculage de mouche = compliquer inutilement une situation.

Rousselé comme un moule à plomb = avoir des taches de rousseur sur le visage. 

Avoir l'air (être) moukmouk = avoir l'air (être) niais, bizarre.

Être une mouche à trois culs = être compliqué, embarassant.

Être comme la mouche à Picard = être excité, énervé.

Être (une) ou (faire la) moumoune = (faire le) geignard, délicat, être femmelette.

Déculotter un nègre = se dit quand deux personnes prononcent les mêmes mots en même temps.

Arrête de faire le niochon = arrête de fair l'imbécile.

Avoir le nombril vert = être trop jeune, trop peu expérimenté.

Être (faire le) nono = être (fairel') imbécile, idiot.

Avoir l'air (être, faire la) nounoune = avoir l'air (être, faire l') idiote.

Se coucher en oignon = se coucher tout habillé.

S'habiller comme un oignon = porter plusieurs épaisseurs de vêtements pour se protéger du froid.

Faire ses oeufs = être menstruée.

Donnes-y des oeufs ! = vas-y, tiens bon ! (formule d'encouragement).

Monter en orgueil = plante qui pousse sans produire de fruit ou pour un enfant qui grandit en restant frêle.

Coucher (canter) les oreilles = se mettre en colère.

Avoir les oreilles molles = ne pas soulever la contreverse, être paresseux, lambin.

Avoir les oreilles dans le crin = maugréer, être irrité, prendre un air sournois.

Avoir les oreilles chromées = être peu raffiné, d'une élégance criarde, être pomponnée (femme).

Avoir les ongles courts = manquer d'argent (Fr. être à sec).

Jeter ses os gras = gaspiller, dilapider son bien.

Serrer les osselets à qqn. = rudoyer, brutaliser, maltraiter.

Faire l'ostineux = aimer contredire, être chicanier.

Lâcher un ouac = lancer un cri : "si tu as besoin d'aide, t'as juste à me lancer un ouac".

Tomber des peaux de lièvres = neiger abondamment.

Avoir la peau courte = être susceptible, irritable, à court de moyens, de ressources.

Ça fait picpic = c'est désagréable, déplaisant.

Se coucher sur le pilotis = se coucher tout habillé.

Faire cailler son pipi = se masturber.

Faire qqch. en une pitouche = faire qqch. en un rien de temps.

Avoir l'estomac comme une planche à laver = avoir de petits seins.

Marcher à planche = être une femme facile.

Manquer une planche = être un peu timbré.

Aller à la planche = aller au maximum, plein tube.

Avoir la poche à terre = être exténué, épuisé, vidé.

J'ai-t'y une poignée dans le dos ? = se dit à celui qui raconte des balivernes, des mensonges.

Excite-toi pas le poil des jambes ! = panique pas, t'excite pas, t'énerve pas.

Planter le poireau = trébucher, faire une chute.

La police pas d'cuisse numéro trente-six = se dit pour se moquer de la police.

Niaiser avec le poque = tergiverser, perdre son temps.

Se casser le porte-crotte = trébucher, tomber.

Avoir une face de porc frais = avoir un air renfrogné.

Niaiser aux portes = tergiverser, perdre son temps.

Avoir du pouchigne = avoir des relations, jouir de passe-droits.

Monter les poteaux à reculons = être niais, benêt.

Gauler les poules à Tancrède = abattre une tâche en un rien de temps.

Avoir une tête de puceron = avoir une allure imbécile.

Ne pas se moucher avec des quartiers de terrine = ne pas lésiner à la dépense, ne pas être pauvre.

Ça bat quatre as ! = c'est sensationnel, formidable, incroyable, mieux que tout !

Avoir une tête de puceron = avoir une tête d'imbécile.

Avoir un oeil qui se crisse de l'autre = loucher.

Être rousselé comme un oeuf de dinde = avoir des taches de rousseur sur la figure.

Enfirouaper ses overalls (Angl.) = enfiler sa salopette.

Faire du pain (à une femme) = lui faire l'amour.

Enfourner le pain = avoir des relations sexuelles.

Se licher la palette du genou = perdre son temps à des riens.

Se licher la palette = garder une rancune tenace.

Se faire prendre la palette = se faire chicaner.

Avoir la grosse palette = avoir beaucoup d'argent.

Se pâmer violette = rougir, s'extasier.

Avoir la palette du genou plate = inventer des prétextes pour ne pas travailler.

Je suis le pape Jean-Paul II, j'ai deux antennes puis un oeil dans le front ! = se dit pour répliquer à des propos

absurdes ou invraisemblables.

Faire du parking = se bécoter dans une voiture en stationnement.

Se coucher en paresseux = se coucher tout habillé.

Se réjouir le paroissien = trinquer, se revigorer (en buvant un coup).

Pas-de-danger a perdu sa goélette = la témérité est punie.

Bégopper sur son passé = ressasser des souvenirs.

Serrer le passage des bines à qqn. = frapper, tabasser, corriger qqn.

Lancer une patarafe à qqn. = avoir des propos blessants envers qqn., l'injurier. 

Faire du patinage de fantaisie = chercher des faux-fuyants, tergiverser.

Manger des pâtés de broquettes = subir des épreuves, connaître des difficultés.

Une patente à gosses = un objet, un outil mal fait, mal conçu.

Être un (vrai) pâté chinois = être (tout) embrouillé, perdu (dans son comportement, ses propos).

Être un pâtira = être une éternelle victime, souffrir.

Être un beau patron = être une belle femme.

Être attaché à la patte du poêle = être trop occupé au foyer pour sortir (par la famille).

Avoir la patte en l'air = être euphorique, joyeux, insouciant.

Être un pelleteux de nuages : être un rêveur, un idéaliste.

Être un peigne de corne = être radin, avare, grippe-sou.

Être pété au frette = avoir perdu la raison, être éliminé, à bout de nerfs, épuisé.

Être un péteux (ou péteuse) de broue = être vantard, parler à tort et à travers.

Avoir le coeur le p'tit boutte en l'air = avoir le coeur gros, être triste.

Faire marcher son p'tit moulin = se masturber.

Manger le p'tit plat = pratiquer le cunnilingus.

Faire petite crotte = être embarrassé, confus. 

Être un picosseux = être achalant, importun.

Virer une picotte = s'enivrer.

Avoir l'air d'une pichoute = être mal habillée.

Crier comme une piroche = crier à tue-tête (piroche : femelle de l'oie).

Prendre la piste à pataud = déguerpir.

Être un pissou = être un couard, un poltron.

Avoir les jambes à la pisse = avoir les jambes arquées.

Avoir la face en pistache = être renfrogné, avoir sa face des mauvais jours.

Être en pleine ceinture = être enceinte.

Être vert comme un poireau = être épouvanté, blême, livide.

Planter le poireau = trébucher, faire une chute.

Se faire aller le porte-crotte = se remuer, se trémousser (notamment en dansant).

Être un pot à tabac = être de petite taille.

Bleu comme la poule à Simon = être conservateur par opposition aux rouges (Libéraux)

Passer en poudrerie = passer en trombe, à toute vitesse.

Se faire chanter pouille = se faire disputer, enguirlander.

Avoir sa robe de première communion =jouir d'une bonne réputation.

Donner son quatre pour cent à qqn. = congédier, licencier.

Être quétaine = être vieux jeu, de mauvais goût, quelconque, sans intérêt.

Être comme une queue de chien = être turbulent, agité.

Faire du raboudinage = faire du mauvais raccommodage, parler de manière incompréhensible.

Être ratoureux = être espiègle, rusé.

Se coucher en rôle de chien = se coucher tout habillé.

Se faire une royale tapocheuse = se rouler une cigarette.

Être en saint simonaque = être en colère.

Aller serrer la main de mon meilleur ami = aller uriner.

Ma tante Sophie est en ville = les menstruations débarquent.

Faire des sparages = gesticuler, faire du boucan.

Être en tabarnak = être en colère.

Arriver comme tambourin à noces = arriver au bon moment.

Pas de tétage d'oreilles, pas de suçage d'orteils = manière amusante de dire : "arrête de me déranger, de me

distraire"

Se brasser le traîneau = se bouger, se remuer (en France : se magner le train)

Offrir une traite à la Bisaillon = offrir une tournée où chacun doit payer sa consommation.

Aller tout fin drette = faire les choses directement, sans détour.

Jouer la trique à Paulo = jouer un tour, une blague à qqn.

Se donner un up and down = se masturber.

Faire du zigonnage = tergiverser, perdre son temps.

Ne pas avoir posé les sprignes aux sauterelles = être un peu timbré, ne pas avoir inventé la poudre à canon.

Faire des steppettes = sauter de joie, de douleur, etc.

Être de Saint-Glin-Glin des Meus-Meus = d'un coin reculé, perdu, paumé.

Avoir du requiens ben = avoir de la retenue, de la pudeur, de la discipline.

Ça ne se trouve pas en dessous de la queue d'une chatte = c'est rare, peu commun.

Ne pas se moucher avec des quartiers de terrine = avoir de l'argent, dépenser sans compter.

Être un senteux de clôtures = aimer faire la cour (surtout aux femmes mariées).

Être crampé au boutte, comme un cheval = rire aux éclats, aux larmes.

Être craquepotte : être fou, timbré. 

Être gelé comme une crotte de poule = être transi de froid.

Gratter la démangeaison à qqn = flatter dans le sens du poil, amadouer, rassurer.

Ne pas avoir des jambes de poil = ne pas être peureux.

Aller voir le lieutenant-gouverneur = manière de dire qu'on va à la toilette.

Se passer un Louis-Philippe sur la glace = se masturber.

Parler comme une machine à coudre = parler sans arrêt.

Être un mangeux de marde = être un bon à rien.

Manger des pâtés de broquettes = connaître des difficultés, subir des épreuves.

Farder une minoune = maquiller une vieille voiture afin de la vendre un bon prix.

Elle est chaussée en mille vingt = une femme avec une opulente poitrine.

Faire qqch., brouchetebrouche = n'importe comment, négligemment, sans soin.

Les charrues sortent pas juste en hiver = Avoir sa braguette ouverte.

Être inquiet comme une chatte qui pisse dans le son = Suite à une grande frayeur, être effarouché, angoissé. 

Faire le chions donc = Faire l'arrogant (qu'est-ce qu'il est chions donc à vouloir péter plus haut que son cul !).

Coucher les fesses nu-tête = Coucher tout nu. (Y s'est enrhumé parce qui s'est couché les fesses nu-tête).

Jouer aux fesses = Avoir des relations sexuelles.

Baiser le cul d'la vieille = Revenir bredouille, perdre au jeu, échouer.

Avoir le cul dans la crèche = Être en colère, de mauvaise humeur.

Être un "suce-la-cenne" ou un "baise-la-piastre" = Avare, radin, grippe-sou.

Mangeux de balustre = Bigot. (En France on dirait : "Grenouille de bénitier ou punaise de sacristie").

Avoir les oreilles molles = Timide, paresseux, lambineux.

Mange pas tes lacets de bottines ! Mange pas tes bas ! T'énerve pas les poils = Pas de panique ! Reste calme !

Virer son capot de bord = Changer d'opinion.

Faire son snoreau (snoro) = Coquin, malin (se dit d'un enfant ou d'un vieillard).

Tirer à blanc ! Quand un homme "tire à blanc" c'est qu'il est impuissant ou stérile.

Avoir le coq à terre = Être fatigué, dépité.

Mange pas tes bobettes ! = Pas de panique, t'as le temps.

Courir comme une queue de veau : S'agiter, courir en tout sens, être hyperactif.

Faire le quiqueux : Protester, rechigner, geindre.

Faire le faraud : Faire le fanfaron, se vanter.

C'est pas une cent watts : Peu intelligent... ( France : c'est pas une lumière).

Agace-pissette : se dit d'une femme qui se plaît à aguicher les hommes.

Rare comme de la marde de Pape = Très rare, précieux.

Senteux de pet : homosexuel.

Tiguidou : d'accord, super, épatant.

Téteux de nuages : avoir des idées farfelues.

Avoir les yeux en trous de beigne = Avoir les yeux exorbités.

Bazou, minoune : une mauvaise voiture (en France : guimbarde).

S'enfarger : trébucher ( en argot : s'emmêler les pinceaux).

Faire danser l'aînée dans l'auge à cochon = Se dit de la cadette qui se marie avant l'aînée.

Être mal attelé = Être mal marié (un couple attelé croche)

Pogner un assaut = Tomber malade (après être sortie dans l'froid tante Yvonne a pogné un assaut).

Avoir les fesses serrées = Être intimidé, gêné.

Baiser le cul du diable quand y est frette (froid) = Agir au moment propice.

Faire de la culotte = être fou, timbré.

Mets tes culottes et rapliques = Affronte la réalité, ouvre-toi les yeux. 

Se faire aller la marde de tête = Se creuser l'esprit, penser, méditer.

Être un ti-cail ou ti-clun = être une personne sans importance, médiocre.

Joual : parler joual. Parler québécois des milieux populaires, caractérisé par certains traits, phonétiques

lexicaux, s'écartant de l'usage correct (comme joual ou choual pour cheval) et souvent empruntés de

l'anglais. Le joual c'est du franco-québécois, du franglais ou du cajun.  


Expressions extraites du dictionnaire des expressions québécoises de Pierre DesRuisseaux.

COUCOU... ME REVOILOU !!!

Par Le 30/08/2010

                    4 interminables mois se sont écoulés depuis que j'ai décidé de partir (avec Napo dans mes valises). Évidemment, par sa faute, j'ai eu droit a un excédent de bagages. Enfin... sa faute, c'est surtout la mienne. Je n'avais qu'à limiter la liste des amis a qui faire cadeau de mes "oeuvres" surtout que j'avais (retenez bien le : j'avais !) un éditeur en France. Donc, première étape chez mon éditeur Ebook (Wood Ebook Paper) pour présenter mon polar "Vacances en eaux troubles" et me présenter à la presse locale pour un article et une photo dans "Sud-Ouest Charente". Comme nous étions à Cognac, Napo a tenu à visiter les chais de Rémy Martin : Impressionnant !!! Napo a beaucoup aimé (surtout la dégustation). Heureusement que ce n'est pas lui qui conduisait le petit train qui nous a fait visiter le domaine. Il a beaucoup insisté pour que j'achète la cuvée spéciale Louis 13 destinée au marché chinois, mais à 3600 euros la bouteille, faut en vendre des Napo !!! J'ai pas craqué et il a dû se contenter de la bouteille offerte par mon éditeur qui, soit dit en passant, ne c'est pas foutu de ma pomme ! (Enfin... c'est une expression, parce qu'avec les pommes c'est du Calvados que l'on fait. On fait aussi du cidre mais, Napo aime moins). Toujours est-il qu'après une bonne nuit de sommeil, nous étions frais et dispos pour attaquer la route en direction de Paris où nous étions attendus au salon du polar des "Blancs Manteaux" par mon éditrice papier (Irène Pauletich Édition) pour 4 autres enquêtes de Napo. Suite à cet "immense succès" j'avais décidé de m'octroyer quelques vacances, Napo étant impatiemment attendu au quatre coins de France. C'est à partir de là que tout a basculé ! Il y a d'abord eu mon papa qui a décidé de nous quitter sans prévenir... puis mon éditrice papier qui suite à des problèmes de santé cesse ses activités. Conclusion : je n'ai plus de papa et plus d'éditeur en France ! La différence c'est que le dernier peut se remplacer.

     Je vous passe tous les détails liés à ces évènements et me revoilà, enfin, de retour au Québec où j'espère pouvoir prendre quelques vacances avant l'hiver. Napo a cependant insisté pour que je ne m'endorme pas trop sur mes lauriers. Ses fidèles lecteurs attendent la parution de sa sixième enquête qui devrait s'intituler (je vous le donne en primeur) : "Rendez-vous avec la mort".

À très bientôt.

P.S. Si vous avez dans vos connaissances un éditeur qui voudrait rencontrer Napo, n'hésitez pas à lui communiquer notre adresse mail : mich.penn@yahoo.fr