1- Quand sort votre prochain roman ?
2- Où peut-on se procurer vos romans ?
3- Comment faire pour obtenir une dédicace ?
4- Où prenez-vous vos idées ?
5- Y a-t-il des événements auto-biographiques ?
6- Comment vous est venu votre style particulier ?
7- Comment est né Napo ?
8- Qui est Napo ?
9- Il paraît que vous avez commencé à écrire vos romans en vous identifiant à votre héros (Je). Pourquoi êtes-vous passé à la 3e personne (Il) ?
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1- Quand sort votre prochain roman ?
Mon 6e roman sera publié fin 2010. L'histoire se passe au Québec et vous pouvez en lire un extrait dans le dernier billet ( page d'accueil) : "mon dernier bébé".
2- Où peut-on se procurer vos romans ?
Voir les liens Europe ou Amérique du Nord au bas de chaque extrait (par titre).
3- Comment faire pour obtenir une dédicace ?
Pour le Canada, en la demandant lors de la commande.
Pour l'Europe, il va falloir attendre encore un peu. Mon système de télétransportation n'est pas encore au point !
4- Où prenez-vous vos idées ?
Je suis un écrivain instinctif. Je pars d'un flash (parfois en dormant !). J'écris sans plan. Je me mets devant mon ordinateur et ça démarre. Je ne sais absolument pas ce qui va se passer dans les pages qui vont suivre et c'est ce qui me plaît. Je découvre l'histoire en l'écrivant ! Mon but est de distraire mes lecteurs et leur faire oublier les tracas journalier.
5- Y a-t-il des événements auto-biographiques ?
Il y a toujours une part de vécu : les lieux, le physique et le caractère des personnages qui sont plus faciles à suivre s'il s'agit de connaissances, ainsi que certaines anecdotes.
6- Comment vous est venu votre style particulier ?
J'écris comme j'aime lire, c'est-à-dire sans entrer dans des détails inutiles dans le but de noircir du papier. J'écris dans un langage équivalant à celui parlé par la majorité des gens pour rendre la lecture plus facile.
7- Comment est né Napo ?
Mes premiers essais, non édités, ont eu lieu alors que je vivais en Guadeloupe. Il était donc logique, pour moi, que mon héros soit antillais. C'est aussi la raison qui a fait que "Vacances en eaux troubles" (aujourd'hui épuisé) se passe sur cette île.
Pourquoi "Napoléon" ? Peut-être en souvenir de "Napoléon Solo", l'un des acteurs d'une série vedette des années 1960.
Pourquoi "Cavana" ? Si un jour mes romans devaient être portés à l'écran, j'avais imaginé que le rôle de Napo pourrait être tenu par son homonyme, le québécois très connu en France, Anthony Kavanagh. Et puis, ça "sonne" bien comme Na-va-ro (oups ! je crois que j'ai les chevilles qui enflent !)
8- Qui est Napo ?
C'est un métis antillais conçu en Guadeloupe, d'une mère Indienne (des Indes) et d'un père Français (de France) alors gendarme dans l'île. – métis : homme de couleur, trop noir pour pouvoir être catalogué de blanc mais pas assez noir pour être reconnu comme tel par ses "frères" nés sur l'île – Pour des raisons de service, papa Cavana dut rejoindre son escadron à Paris et c'est ainsi que quelques mois plus tard naquit, dans la capitale française, un nouveau… Napoléon !
La quarantaine, un mètre quatre-vingts, cheveux noirs et ondulés (hérités de sa mère), séducteur, charmeur, un tantinet macho et toujours prêt à porter secours aux femmes en détresse, surtout quand la pauvre âme en peine est jeune et belle ! Un antillais tout à fait normal, quoi ! Malgré une demande en mariage auprès de la belle Maryse, il semblerait qu'il soit toujours célibataire. Je dis, il semblerait, car nous n'avons aucune preuve que cette union se soit concrétisée ? À sa décharge, il faut dire que Napo tombe facilement amoureux et dans ce cas, il aurait tendance à faire des déclarations pouvant prêter à confusion. Tous ceux et celles qui le suivent depuis ses premières enquêtes vous le diront : " C'est un gars ben sympathique mais que l'on préfèrerait avoir comme ami ou amant plutôt que comme gendre !
Particularités : c'est un spécialiste pour faire compliqué quand on peut faire simple et il bouffe en permanence des cacahuètes pour remplacer la cigarette. Toutefois, depuis quelques temps, il ne crache pas sur un Chivas sur glace (whisky) et un petit Davidoff (cigare).
Amoureux de nature, de grands espaces, de calme (d'où son amour pour le Québec). Couleurs préférées : orange, mauve, l'automne au Québec, le bleu lagon et les pastels en général. Apprécie tous les grands vins, rouges ou blancs. Musique : tous les chanteurs et toutes les chanteuses à voix, avec une préférence pour Patricia Kass et le "King Elvis". Esprit très contradictoire avec un amour pour les extrêmes : le gros 4x4 ou la petite sportive, le chalet en bois rond au Québec ou le faré dans les îles du Sud, enquêter ou faire la sieste dans son hamac. Épicurien et n'aimant pas philosopher,préfère vivre avec des remords plutôt qu'avec des regrets !
Mettrait volontiers une balle dans la tête d'un méchant mais incapable de faire du mal à un animal ; avoue cependant une faiblesse pour le foie gras... comme quoi on ne peut pas être parfait ! Se révolte devant la souffrance des enfants et rétablirait bien la peine de mort pour les abuseurs de toutes sortes et les crimes gratuits.
Projets : Partir avec ma "blonde" sur mon trike Goldwing pour traverser les États-Unis par la route 66 !
9- Il paraît que vous avez commencé à écrire vos romans en vous identifiant à votre héros (Je). Pourquoi êtes-vous passé à la 3e personne (Il) ?
Au début j'avais un comité de lecture à Ottawa, à qui cela déplaisait. D'après eux, "Il" peut faire des actions que l'on n'oserait pas proposer à "Je".
Commentaires
1 Francine Delpec Le 29/08/2014